Traduit de l\'anglais par Stephen Spriel Avec la collaboration de Clarisse Francillon et de l\'auteur Aussi quand tu partis, Yvonne, j\'allai a Oaxaca.
Il faut le lire et le relire afin d\'en mieux penetrer la signification et d\'en mieux savourer les beautes " (Maurice Nadeau)..
On n\'epuise pas cet ouvrage bouleversant. " Une œuvre prodigieuse...
Te dirai-je, Yvonne, le terrible voyage a travers le desert, dans le chemin de fer a voie etroite, sur le chevalet de torture d\'une banquette de troisieme classe, l\'enfant dont nous avons sauve la vie, sa mere et moi, en lui frottant le ventre de la tequila de ma bouteille, ou comment, m\'en allant dans ma chambre en l\'hotel ou nous fumes heureux, le bruit d\'egorgement en bas dans la cuisine me chassa dans l\'eblouissement de la rue, et plus tard, cette nuit-la, le vautour accroupi dans la cuvette du lavabo ? Horreur a la mesure de nerfs de geant ! " Un chef-d\'œuvre comme il n\' en a pas dix par siecle " (Paul Morelle, Le Monde).
Pas de plus triste mot.
Traduit de l\'anglais par Stephen Spriel Avec la collaboration de Clarisse Francillon et de l\'auteur Aussi quand tu partis, Yvonne, j\'allai a Oaxaca