«...
En terminant, nous nous demanderons si le moraliste ne doit pas d pas.
Nous verrons comment, de nos jours, ces doctrines ont cherch un appui dans la Morale de la « vie intense et expansive, soutenue d\'abord si loquemment par Guyau, puis par Nietzsche et par les disciples contemporains de ces deux grands penseurs.
Nous ne nous proposons d\'examiner aujourd\'hui que les doctrines libertaires et individualistes, o le culte bien entendu du moi est rig en principe moral et social. «..