«...
Elle co.
L\'apaisement la p n tra et elle put se rem morer les mois pr c dents sans trop de larmes.
Un attendrissement lui vint et elle n\'y comptait pas.
Le ciel tait bleu, la terre des routes blanche, et les arbres se teintaient d j de roux.
Ils accompagnaient harmonieusement la grande chaleur.
Les g raniums clatants ne heurt rent pas sa vue dans la violence du chaud soleil.
C\' tait des roses remontantes aux p tales d licats.
Elle revit son jardin tendu de rideaux de roses. «..