«...
Il comprit que, par une volution rapide de sa pens e, l\'image de l\'infortun Gerbaud, tel qu\'il l\'avait vu ses derniers instants et tel qu\'il se l\' tait repr sent coulant au fond des flots, avait pu lui appara tre..
Il y r ussit.
Jacques avait l\'esprit s rieux et voulut se rendre compte de sa souffrance.
Pendant la plus grande partie de la soir e, il ne put r agir contre l\'impression de terreur qu\'il avait ressentie si soudaine et si vive; mais la longue il s\'irrita de ce malaise. «..