Trois recits, Trois femmes qui disent non.
La force de son ecriture tient a son apparente douceur, aux lentes circonvolutions qui entrainent le lecteur sous le glacis d\'une prose impeccable et raffinee, dans les meandres d\'une conscience livree a la pure violence des sentiments..
L\'art de Marie NDiaye apparait ici dans toute sa singularite et son mystere.
Chacune se bat pour preserver sa dignite contre les humiliations que la vie lui inflige avec une obstination methodique et incomprehensible.
Elles s\'appellent Norah, Fanta, Khady Demba.
Trois recits, Trois femmes qui disent non