Description Texte original. - Cette inspiration prouve que j\'ai r v ".
La charit est cette clef.
Or, tout derni rement m\' tant trouv sur le point de faire le dernier couac j\'ai song rechercher la clef du festin ancien, o je reprendrais peut- tre app tit.
Et le printemps m\'a apport l\'affreux rire de l\'idiot.
Et j\'ai jou de bons tours la folie.
Je me suis s ch l\'air du crime.
Je me suis allong dans la boue.
Le malheur a t mon dieu.
J\'ai appel les fl aux, pour m\' touffer avec le sable, le sang.
J\'ai appel les bourreaux pour, en p rissant, mordre la crosse de leurs fusils.
Sur toute joie pour l\' trangler j\'ai fait le bond sourd de la b te f roce. sorci res, mis re, haine, c\'est vous que mon tr sor a t confi Je parvins faire s\' vanouir dans mon esprit toute l\'esp rance humaine.
Je me suis enfui.
Je me suis arm contre la justice. - Et je l\'ai injuri e. - Et je l\'ai trouv e am re.
Un soir, j\'ai assis la Beaut sur mes genoux. "Jadis, si je me souviens bien, ma vie tait un festin o s\'ouvraient tous les coeurs, o tous les vins coulaient.
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