«...
Je me secouai enfin; la couleur empourpr e du paysage avait disparu, ses te.
Inutile de r sister, entra n que j\' tais par une force secr te: c\'est ainsi qu\'une barque est in vitablement emport e par des rapides la cataracte qui doit l\'ab mer.
Je me sentais pris dans un cercle magique.
Longtemps encore je demeurai assis ma fen tre, mais d j toute irr solution avait cess .
Un moment apr s, l\'oiseau agita ses ailes doubl es de duvet et s\'envola sans plus de bruit qu\'il n\' tait venu. «..